En
effet, pour être
béatifié, il faut être
enterré près
d'une église chrétienne.
Les distances affichent maintenant une obligation à rouler approvisionné.
Un targui, des touareg. Pour ne pas se tromper on peu utiliser le terme plus imagé "d'hommes bleus".
Les touareg constituent une branche du vaste ensemble berbérophone qui peuple une large partie de l'Afrique du nord-ouest : Magreb, Sahara et Sahel. Ils seraient entre un million et un million et demi. Ils se répartissent de manière inégale entre cinq pays : Algérie, Libye, Niger, nord de la Haute-Volta (aujourd'hui Burkina Faso), et Mali.
Les distances affichent maintenant une obligation à rouler approvisionné.
Au
marché nous rencontrons nos premiers Touareg. Plus
de doute, le Grand Sud commence.
Un targui, des touareg. Pour ne pas se tromper on peu utiliser le terme plus imagé "d'hommes bleus".
Les touareg constituent une branche du vaste ensemble berbérophone qui peuple une large partie de l'Afrique du nord-ouest : Magreb, Sahara et Sahel. Ils seraient entre un million et un million et demi. Ils se répartissent de manière inégale entre cinq pays : Algérie, Libye, Niger, nord de la Haute-Volta (aujourd'hui Burkina Faso), et Mali.
Les
Touareg du Hoggar
parlent le tamahaq, langue berbère qui utilise son alphabet
propre dont les caractères sont nommés
"tifinagh".
Ils
se
lisent en tous sens et pour simplifier le tout, seules les voyelles
s'écrivent.
Nous
nous dirigeons vers le Hoggar, nous devrions en apprendre plus.
Le chameau n'est pas le seul moyen de locomotion dans la contrée. La "Pijot" est aussi bien représentée.
On nous propose souvent des roses des sables. Les enfants, eux, voudraient nous emmener à leur recherche. Le temps nous manque.
Nous ne sommes pas encore assez "africains" pour passer la nuit dans, ou à proximité, des villes. Nous préférons nous arrêter en pleine nature, un peu à l'écart, si possible. Nous nous y sentons plus en sécurité. C'est peut-être l'inverse, mais on en est là. Des roses des sables j'en trouverai plus tard. Le seul exemplaire en ma possession est minuscule. Pour moi, seul le souvenir qu'elle évoque, compte.
Le bois pétrifié, qu'on rencontre aussi dans les environs, met des millions d'année à se fossiliser.
En nous laissant aspirer de nouveau vers un "grand sud" toujours plus au sud, un second mirage nous apparaît. De l'eau.
Le chameau n'est pas le seul moyen de locomotion dans la contrée. La "Pijot" est aussi bien représentée.
On nous propose souvent des roses des sables. Les enfants, eux, voudraient nous emmener à leur recherche. Le temps nous manque.
Nous ne sommes pas encore assez "africains" pour passer la nuit dans, ou à proximité, des villes. Nous préférons nous arrêter en pleine nature, un peu à l'écart, si possible. Nous nous y sentons plus en sécurité. C'est peut-être l'inverse, mais on en est là. Des roses des sables j'en trouverai plus tard. Le seul exemplaire en ma possession est minuscule. Pour moi, seul le souvenir qu'elle évoque, compte.
Le bois pétrifié, qu'on rencontre aussi dans les environs, met des millions d'année à se fossiliser.
En nous laissant aspirer de nouveau vers un "grand sud" toujours plus au sud, un second mirage nous apparaît. De l'eau.
Si je
ne craignais pas le pléonasme, je dirais bien qu'il s'agit
là d'un plateau qui est plat.
Quelles informations effrayantes vont nous divulguer des camionneurs en panne le long de la Transsaharienne ? Pourrons-nous trouver un endroit discret pour passer la nuit sur ce plateau ?
Vous le saurez... peut-être, dans l'épisode suivant :
Commande d'un ou plusieurs livres par carte bancaire :
© 2008 | | |
Quelles informations effrayantes vont nous divulguer des camionneurs en panne le long de la Transsaharienne ? Pourrons-nous trouver un endroit discret pour passer la nuit sur ce plateau ?
Vous le saurez... peut-être, dans l'épisode suivant :
Douzième épisode : Le Plateau du Tademaït |
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