27 - de la gare de
Loupian à la gare de
Bouzigues
Intérêt
Local de l'Hérault de Béziers-Nord à Montpellier-Chaptal
à
VTT
Évolution
du parcours depuis les gares de Saint-Chinian et d'Agde
De la gare de
Loupian
à la gare de Bouzigues : 3,4 km
Ouvrez le
tracé de cette
section de voie sur Géoportail
TUTO pour utiliser les
coordonnées UTM
Photos des 02 mars 2013, 05 août 2016, 11 janvier et 03
février 2020
Au-delà
du passage à niveau du "chemin des Prés Bas ", actuelle D 158 E4 , avenue de la Gare, les convois
s'engageaient sur un ponceau
arqué au-dessus d'un fossé sans nom
puis
abordaient un faisceau de voies
avant de se
présenter
à
quai
de la gare
de Loupian ,
UTM : 31
T 549944 4810199
aujourd'hui rasée .
Les trois voies
à la droite du bâtiment voyageur et de sa halle
aux marchandises attenante,
s'étendaient
à l'est en bordure
d'un actuel hangar sans rapport
avec l'ancien chemin de fer.
Les voies
orientées
à l'est
confluaient
avec deux
paires de rails orientées
en sens opposé.
Une de ces
voies de garage
contournait
la gare
en bordure
de sa cour .
La cour,
aujourd'hui
plantée d'agrès ,
donnait sur
l'avenue ... de la Gare .
La voie verte , sur la
plate-forme d'une ancienne voie de garage,
progresse le
long d'une vigne
jusqu'à
l'extrémité est de l'emprise .
Les trains
retrouvaient
leur voie unique
sur le tablier
UTM : 31
T 550160 4810222
d'un ponceau maçonné
arqué au-dessus d'un "fossé "
avant de croiser à
niveau
le "chemin de
l'ermitage*
de Sainte Marguerite".
* "hermitage" sur le cadastre
napoléonien de
Loupian et sur la carte de Cassini
L'ex-plate-forme de
l'Intérêt Local
s'élève en courbe
sur la droite
et
longe
d'abord
le
séculaire chemin de
l'Etang, nommé de nos
jours "chemin du Bassin "
puis le coupe
à niveau
à l'angle du chemin du
Réservoir.
UTM : 31
T 550411 4810164
La prise d'altitude ,
même
très symbolique,
permet au regard du randonneur
de se porter sur l'Etang de Thau et au-delà sur la ville de
Sète au
pied du Mont Saint-Clair .
La voie verte serpente entre différentes sortes de poteaux
dont
la caractéristique commune est celle de ne plus prendre leur
pied en bordure
du ruban gris de la piste .
Orientée globalement à l'est, la plate-forme ferroviaire
déferrée
sautille un dalot
et se prépare
à stoppe r
devant un chemin de service.
UTM : 31
T 550760 4810289
Le passage à
niveau non gardé ne faisait que relier des
terres entre elles.
Aujourd'hui, une petite
route dessert des "riverains" autorisés
à l'emprunter.
La voie verte ,
garantie sans crottin,
vire
légèrement sur la droite
et coupe une
nouvelle route que les fonds de carte de Géoportail n'ont
pas encore intégrée.
UTM : 31
T 550918 4810357
La piste cyclable traverse le ruisseau
des Vignaux sur un ouvrage protégé
par les ronces, été
UTM : 31
T 550987 4810364
comme hiver.
Le huitième kilomètre de la voie verte ne marque
plus sa fin.
UTM : 31
T 551060 4810359
En revanche elle quitte
l'emprise de la voie ferrée
pour se
lancer dans
une déviation
parfaitement fléchée qui se glisse sous la D 613.
La voie
déferrée, recouverte de l'asphalte d'une bretelle d'accès
à la départementale ,
parvient
à l'angle de la maisonnette de
garde-barrière
- aujourd'hui réduite
à peu de chose -
UTM : 31
T 551189 4810322
du
passage à niveau de la N 113.
A travers des terrains
bouleversés par de longs travaux
d'aménagement du carrefour, l'ex-plate-forme ferroviaire
tutoie
UTM : 31
T 551214 4810314
l'aire de Loupian sud
16
septembre 2014
et poursuit à l'est sous la chaussée,
UTM : 31
T 551280 4810297
aujourd'hui goudronnée, de la voie verte
retrouvée.
En courbe
vers le nord-est,
l'Intérêt Local de l'Hérault
UTM : 31
T 551471 4810344
accueille sur
sa plate-forme très élargie la voie verte et une route
irriguant des terres et des hameau x
jadis desservis par des voies transversales.
16
septembre 2014
La voie déferrée,
et maintenant
goudronnée, entraine la piste
cyclable en courbe et en site propre
en surplomb de l'Etang de
Thau .
La voie
16
septembre 2014
parvient au carrefour
de l'une de ces anciennes transversales
indirectement
embranchée
à
l'ex-N 113.
L'environnement nouveau n'aide pas à imaginer le passage
à niveau non gardé d'antan.
UTM : 31
T 551663 4810483
16
septembre 2014
Le sentier
qui avait pris place sur la plate-forme de
l'Intérêt Local, a été
quelque peu
élargi .
16
septembre 2014
Les trains se présentaient
au passage à
niveau
du
chemin de la
Catonnière
et
poursuivaient
UTM : 31
T 551820 4810596
16
septembre 2014
en tranchée
16
septembre 2014
à la frontière
entre les communes de Loupian
et de Bouzigues.
La voie verte,
en se hissant aux abords de la D
613,
sautille le passage
d'eau
UTM : 31
T 551980 4810721
d'un fossé
UTM : 31
T 551987 4810722
opérationnel
et s'engage
sur un ancien aqueduc
supprimé. Remplacé ?
UTM : 31
T 552005 4810737
Les convois, eux,
sautaient
un passage
voûté
UTM : 31
T 552069 4810783
sur un cours d'eau
et peut-être même sur un sentier .
La voie verte
contourne un rond-point
implanté au croisement de la D 158.
UTM : 31
T 552205 4810879
16
septembre 2014
La voie ferrée, elle,
sautillait un aqueduc
disparu comme elle sous le terre-plein du giratoire .
Au-delà du passage à niveau, voie
déferrée et voie
verte
abordent ensemble une ligne
droite
parallèle
à
celle de la départementale ,
qui les emmènent au-dessus
UTM : 31
T 552382 4810990
d'une
courte galerie
voûtée
affectée au départ
au ruisseau de la Combe , actuel ruisseau du
Joncas.
Ce court
passage inférieur
s'est
agrandi au fil du temps. Un tablier
en béton a assuré la jonction
avec le pont-route
maçonné de la N 113 ;
qui elle-même s'est élargit en devenant
D 613.
Les deux ouvrages réunis, prolongés d'une extension,
se sont ouverts au chemin de la Bergerie.
Guère plus loin, les bennes d'un transporteur aérien
en provenance de carrières et à destination d'un
embarcadère maritime sur l'étang de Thau,
enjambaient la plate-forme ferroviaire et la nationale
113 au-dessus d'une passerelle de sécurité.
A
la place de ce transporteur, Péchiney met en service en novembre 1963, une tour de chargement
sur un embranchement particulier
Photo : Rémy Martin.
parallèle à la voie de circulation. Cette tour
était alimentée par un convoyeur à bande
qui enjambait la RN 113 de l'autre
côté de
laquelle se trouvait le concasseur. Une piste privée reliait
la
carrière au concasseur.
UTM : 31
T 552411 4811010
Les deux voies
sautaient de conserve
UTM : 31
T 552494 4811063
un fossé
sur la galerie
voûtée
d'un aqueduc
aujourd'hui prolongé d'une buse.
Un bout de traverse
peine à pourrir près de l'ouvrage.
La voie verte
amorce bientôt une courbe à gauche
qui la désolidarise de l'ancienne plate-forme ferroviaire.
Les trains poursuivaient
UTM : 31
T 552604 4811134
sur un aqueduc
discret et viraient très légèrement
à droite en direction de l'est.
Le train qui, en 1928, avait quitté la gare de Béziers-Nord à 11 h 58
pénétrait sur l'emprise
- aujourd'hui construite -
UTM : 31
T 552705 4811181
de la gare
de Bouzigues.
Les terrains sont occupés de nos jours par un garage, un atelier de contrôle technique
automobile ,
UTM : 31
T 552859 4811215
et une caserne
de sapeurs
pompiers.
Le train
de Béziers se présentait à quai de la gare de Bouzigues
UTM : 31
T 552941 4811217
à 16 h 10.
La halle aux
marchandises
et le bâtiment
voyageur
UTM : 31
T 552941 4811217
sont pour l'heure
toujours debout et reprennent même des couleurs pour le
rester.
Côté cour ,
les bâtiments étaient desservis par le "chemin dit le Chemin Neuf ",
actuelle rue Alfred Bouat.
La voie verte
abandonnée à l'angle d'une menuiserie, poursuit le long de
la D 613
évite par
la droite un rond-point et
entre dans
Bosigas, dit Bouzigues,
par
l'avenue
Alfrède
Bouat où elle va retrouver la voie
déferrée en ayant ignoré la gare
en impasse .
Les convois
coupaient à niveau l'actuelle
l'avenue
Alfrède
Bouat
UTM : 31
T 552983 4811209
et ne quittaient l'emprise de la
station
qu'au terme
de l'espace
Bir Hakeim.
Ils poursuivaient en
direction des gares de Balaruc (IL) ou de Balaruc-le-Vieux, selon les époques.
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