Yátova
est le "centre" choisi pour, au passage, aller visiter quelques cols
environnants. D'abord,
sur
et autour de la CV-429.
Je quitte le village en direction de l'ouest pour une ascension d'un
cinquantaine de mètres suivie d'une descente
équivalente à laquelle s'ajoute les
intérêts.
Ce n'est qu'alors que débute la grimpée au
col
géographique que ma carte mentionne à 586
mètres.
Cette passe a un nom. Une garde du Ministerio de Medio Ambiente me l'a
donné, juste au moment où éclatait un
orage.
Dépense d'eau et d'électricité
inutile, il n'en
fallait pas tant pour que j'oublie l'appellation.
plus
rapidement, même si les bornes portent des chiffres
différents de ceux de la carte.
C'est entre les Km 14 et 15, ceux plantés de part et d'autre
de la route, que se tient le
qui
au fil des kilomètres perd 100 mètres de
dénivelée.
Peu
après la borne 16,
à
main gauche, un chemin remonte le long du goudron
UTM : 30
S 678546 4359605
et
dans un premier temps, à vue, se dirige vers le Collado Flez
à
travers une zone à haut risque d'incendie.
Une
antique pancarte signale, à 75 mètres, une
"Fuente del Satero"... ou quelque chose comme ça !
Le
PRV-148 longe alors une habitation où une femme en robe de
chambre me pose 3 fois la même question à laquelle
je ne saisis pas un traitre mot.
Pour ne pas amener la señora à
l'extinction de voix et m'éviter de prendre du retard sur le
soleil, je réponds "si, si" sans conviction ni stopper !
J'espère que ma réponse hasardeuse
n'aura pas de conséquences...
cette
première partie de parcours en forte descente
entraînera au retour un passage à toute petite
allure devant
cette même maison !
La perte d'altitude enregistrée d'entrée de jeu a
pour but de faire traverser le Rio
Mijanes, à sec, malgré le violent
orage de la veille.
Aussi
sec ! le chemin entame une remontée
revêtue
par
endroit.
La
voie dessert
quelques
maisons de campagne rudimentaires ; des coins de paradis, j'en suis
sûr,
pour
ceux qui les bricolent.
Il
faut encore prendre de la hauteur pour se rapprocher à son
tour du ciel et