La gare,
implantée au milieu de nulle part, se situe à quelque 1200 mètres
du
centre du village qu'il n'était pas toujours simple de rallier.
1902
En sortant de la gare de l'Hospitalet,
je prends le premier chemin qui s'offre à moi et qui paraît se diriger
vers la ville ! Entre deux haies de pierres... mouillées sous les
rafales de fine pluie, je m'approche de la cité.
Je croise deux indigènes "Quel est le
meilleur hôtel du pays, s'il vous plaît Messieurs ?
Les deux indigènes semblent réfléchir, puis ils me déclarent
sentencieusement que c'est l'hôtel X..... que je trouverai en marchant
devant moi.
Je le trouve ; j'y pénètre, les gens sont stupéfaits de voir un
voyageur ; on
me fait cependant monter au premier où pour deux francs on me sert deux
sardines, des pois chiches, de la morue, des oranges et un café cognac.
Ce récit porte à croire que l'Hôtel
& Café de la Gare n'existait pas encore.
L'aménagement du camp du Larzac qui lui assurera une importante
clientèle n'a été achevé qu'en juin 1902.
1899
Le service du génie a arrêté
l'ensemble des travaux d'installation du camp du Larzac, au sud du
département de l'Aveyron. Ce camp de 4.000 hectares est situé sur
le
terrain des communes de l'Hospitalet, la Cavalerie et Millau.
Les régiments des 13e et 16e corps
viendront, par brigades, s'exercer
sur le plateau du Larzac, aux feux de guerre et aux évolutions de
combats des trois armes.
Les garnisons excentrées du Puy-de-Dôme et du Roussillon seront
transportées au camp par chemin de fer.
La France de Bordeaux et du Sud-Ouest, 22 mars 1899
1937 M. Soleil, chef de gare,
vient d'être
nommé, sur sa demande, chef de gare à Laissac...
Son épouse aurait-elle prédit la
fermeture prochaine de la ligne
aux voyageurs ?
A 730,373 mètres d'altitude,
le train repartait,
dos à la gare,
en direction de
Sainte-Eulalie-de-Cernon.
15
mai 1939
Le
service voyageurs est supprimé sur la ligne de Tournemire-Roquefort au
Vigan.
22
mai 1955
Fermeture
marchandises.
29
octobre 1970
DéclassementEn 1978,
en pleine contestation de l'extension du camp du Larzac, l'armée
entreprend la reconstruction de la ligne de chemin de fer entre
Tournemire et l'Hospitalet, afin d'acheminer troupes et matériel. L'emprise de la
gare
semble alors avoir été préparée à recevoir de nouvelles voies bien
qu'un embranchement dérivatif ait été prévu, 573 mètres en aval.
Le 10 mai 1981
étant passé par là, dès le 3 juin suivant, l'abandon du projet d'extension
du camp est acté en conseil des ministres. La repose de la voie n'a
plus lieu d'être.
L'emprise
de la gare de l'Hospitalet - l'Hospitalet-Larzac, à partir de 1929 -
allait se resserrant sous les constructions actuelles
desservies
par le "chemin rural N° 40,
dit des Cascabels".
Les convois retrouvaient leur voie unique
aux confins de la commune de l'Hospitalet-du-Larzac.
Ce court
embranchement, visible sur la photo aérienne de 1981,
avait-il atteint sa destination au moment de l'abandon des
travaux ?
S'agissait-il d'une voie destinée au seul transport du matériel du
camp ; la gare et le café voisin restant ouverts au personnel
militaire ?
Le remblai, ici déferré une seule fois,
mais ayant supporté deux plateformes successives, se trouve aujourd'hui recouvert par la chaussée du "chemin
rural N° 16 dit du Roc".
En 1981, la voie à vocation
militaire, déjà posée sur quelque 17 kilomètres, s'est trouvée là stoppée net par
la politique et par un monticule de terre,
aujourd'hui recouvert de végétation,
au
sud du hameau "le Rouquet".
De la "repose", déposée, il ne reste plus grand chose.
Le
camp du Larzac est établi sur le plateau du même nom, qui s'avance de
plus de sept lieues dans le département de l'Hérault, pénètre un peu
dans le Gard et s'étend dans l'Aveyron jusqu'à la vallée du Tarn, qu'il
domine au-dessus de Millau.
D'une
altitude moyenne de 8 à 900 mètres, le camp touche, près du
village de la Cavalerie, à la route de Millau à Lodève ;
19 kilomètres le séparent de Millau
et 40 kilomètres de Lodève, mais grâce
à la ligne du Vigan à Tournemire, on peut arriver au camp par la gare
de l'Hospitalet, en n'employant la voie de terre que sur un
trajet de
4 kilomètres.
Aujourd'hui, le camp, faute d'agrandissement, n'est plus desservi par le
rail,
même par du matériel léger, la voie n'étant plus reliée à la ligne des Causses, à
Tournemire-Roquefort.
Les trains de la Compagnie du Midi, qui n'avaient pas ce problème de
continuité,
Les eaux de
tous les rus environnants prennent maintenant la direction
de l'Atlantique.
Le camp
du Larzac, avant qu'il ne soit pas agrandi, n'a pas manqué d'histoire :
Dès la fin du mois de janvier 1939,
les nombreux républicains espagnols réfugiés en France représentent
pour les autorités un poids économique et un danger pour la sécurité
intérieure.
Les camps, érigés en hâte
dans le sud-est et le sud-ouest du pays et destinés à les "héberger",
se révèlent vite insuffisants. Tous ceux qui souhaitent rester en
France sont alors soumis à des obligations militaires. De nombreux
combattants rejoignent ainsi les 21e, 22e et 23e Régiments de Marche
des Volontaires Étrangers (RMVE). Après trois mois au camp
d'instruction du Barcarès (Pyrénées-Orientales),
préalablement évacué
des civils espagnols réfugiés, les régiments embarquent pour un séjour
d'aguerrissement au camp du Larzac,
qui a pour objectif de diversifier
l'instruction...
Entre 1940 et 1941,
le camp du Larzac accueille aussi la 41e
compagnie de travailleurs étrangers (CTE), composée essentiellement
d'exilés espagnols.
Ces unités étaient composées
théoriquement de 250
individus et devaient participer à des travaux de caractère stratégique
ou d'intérêt général dans les zones frontalières ou dans des camps
militaires de l'intérieur du pays comme
au Larzac.
En
décembre
1943 le camp du Larzac est finalement réquisitionné par
l'armée allemande et accueille 1 400 hommes. Les Allemands installent
au camp des radars à longue portée, des batteries de tir anti-aérien,
des blockhaus et des casemates.
A la Libération du camp, plus de
10 000
prisonniers allemands y sont détenus jusqu'en 1948,
avant de redevenir
un camp pour les formations militaires estivales.
C'est
à l'occasion des "événements d'Algérie" que le Ministère de
l'Intérieur français obtient, en 1957, la
possibilité de recourir à
nouveau à l'internement administratif collectif.
Après l'offensive du
Front de libération nationale (FLN) en France, en 1958, une
ordonnance
est prise en Conseil des ministres permettant aux préfets de procéder à
des internements administratifs en métropole, complétant en cela la loi
du 26 juillet
1957 qui étend à la France les dispositions de la loi
dite des "pouvoirs spéciaux".
L'ordonnance du 8
octobre 1958 autorise
l'internement administratif ou l'assignation à résidence des "personnes
dangereuses pour la sécurité publique, en raison de
l'aide matérielle, directe ou indirecte, qu'elles apportent aux
rebelles des départements algériens".
Sont ainsi mis en place
progressivement en métropole quatre centres d'assignation à résidence
surveillée (CARS)
à Mourmelon-Vadenay, Saint-Maurice l'Ardoise, Thol et Le Larzac, complétant
l'emprisonnement
dans les centres pénitentiaires des militants nationalistes algériens.
Le
camp du Larzac est ainsi mis à
disposition du Ministère de l'Intérieur
par le Ministère des Armées. Après des mois de travaux, le Larzac
devient le plus grand centre d'assignation à résidence surveillée
(CARS) du pays.
Ouvert le 8
avril 1959, le camp accueille plus de 3 000
internés dès le mois de décembre, séparés en deux pôles : selon
que les internés soient considérés comme "radicaux" ou "modérés".
Les visites des délégués de la
Croix-Rouge (CICR) et
des membres du service nord-africain du Comité inter-mouvements auprès
des évacués (CIMADE) conduisent à une dénonciation des conditions de
détention des assignés, dans une région où les conditions climatiques
sont rigoureuses.
Le 28 juin 1959,
une manifestation, exigeant la
fermeture du camp, a lieu devant le camp militaire du Larzac et devant
la sous-préfecture de Millau.
La contestation s'organise aussi
dans le
camp où grèves de la faim, refus des soins, revendications politiques
et plaintes contre les gardes mobilisent les assignés, sur lesquels la
mainmise du FLN est encore forte. Le camp est ainsi perçu par
l'administration comme une "colonie de l'Algérie libre"...
La
nécessité qu'il y aurait eu à pouvoir traverser, ici, la plate-forme ferroviaire,
n'est pas flagrante sur les photos aériennes anciennes.
Au
31 mars 1962,
après le cessez-le-feu, ils sont encore 1 679.
Finalement, durant toute la période du camp d'assignation, et d'après
les registres d'écrou, 4 898 Algériens ont été libérés en France
et 4 786 transférés en Algérie.
A
partir de juin
1962, le camp constitue l'un des centres d'accueil des
rapatriés d'Algérie (CARA) destiné à héberger les anciens harkis et
leurs familles.
Près de 12 000 d'entre eux ont
ainsi été hébergés sous
des tentes, d'où son nom de "camps des mille tentes". En
septembre 1962,
les familles, qui n'ont pas été reclassées, sont
transférées majoritairement vers le camp de Rivesaltes
(Pyrénées-Orientales).
Le
camp du Larzac retrouve finalement son usage militaire.
Lors du
mouvement écologiste et paysan opposé au projet d'extension du camp
militaire en 1970-1973,
il devient un lieu emblématique de l'histoire
politique et sociale de la France contemporaine.
qui
enjambe, en 96 mètres,
sur une hauteur maximum de 19 mètres,
le vallon d'un ravin anonyme,
affluent du Cernon.
1974
Sabotage d'un viaduc sur le
Larzac
Le viaduc de la voie ferrée
désaffectée Tournemire - Le Vigan, près de
Sainte-Eulalie-de-Cernon, a été saboté.
Une explosion a endommagé le
tablier de l'ouvrage.
Collection du Ministère de la Défense - Service
historique
Ce
sabotage est revendiqué par "les Brigades Rouges d'Occitanie"
dont on ne connaissait pas l'existence avant ce jour.
Collection du Ministère de la Défense - Service
historique
Leur but - outre d'attirer
l'attention sur elles - semble être d'avoir
voulu détruire ce viaduc qui
pourrait être remis en service si le
projet d'extension du camp militaire se réalise. Une enquête est
ouverte.
Le Journal de Millau 17 avril 1974
Collection du Ministère de la Défense - Service
historique
dont les parois demandèrent à
être soutenues. Photo du 26 août 1899
Mise à découvert, en 1893,
d'une grotte sépulcrale, par
une tranchée du chemin de fer de
Tournemire au Vigan ; malheureusement
l'entrée en a été murée par l'entrepreneur sans en avoir été explorée.
Grotte ossuaire de Cayrelets situées dans la tranchée du chemin de fer, près
du grand viaduc des Cayrelets. Entrée murée avant étude. Petite caverne renfermant des
squelettes humains, mise à jour lors du creusement de la tranchée du
chemin de fer.
fait
face à l'inscription, gravée dans la
pierre, de la position de l'axe
médian de la voieà2,43mètres des piédroits du souterrain, selon une mesure prise à1,00mètre
du sol.
Cette
précision, qui ne variait guère de plus d'un millimètre d'un
souterrain à un autre, est-elle encore d'actualité après la pose de la
voie militaire ?
les eaux de trois petits ravins doivent trouver à s'écouler.
Un long et large aqueduc a été
construit à cet effet.
L'ouvrage voûté
prête sa galerie,
par temps sec,
aux emprunteurs
d'un sentier,
discrètement fléché "Saplum".
Il a
fallu, au début du XXème siècle,
qu'un objectif prenne de la
hauteur pour immortaliser ensemble, le remblai, un train et le village
de Sainte-Eulalie-de-Cernon.
La voie,
en balcon,
finit par se redresser
au côté des pierres
d'une cabane de cantonniers, ruinée.
Le
3 juin 1902,
le journal "Mémorial de la Loire et de la
Haute-Loire", traite de l'alimentation en eau du camp du Larzac.
Les
locaux nécessaires au logement d'une grande armée n'y sont encore
construits qu'en partie, mais on a exécuté le principal travail, qui
était celui de l'adduction de l'eau potable.
De
puissantes machines y élèvent et conduisent les eaux de la source du
Cernon qui, par les plus grandes sécheresses, ne débite pas moins de
50 litres à la seconde.
La
source dont il est question n'est assurément pas celle qui alimente le cours haut, à sec, du
Cernon, tracé par Géoportail.
Au moment de
l'établissement du camp, le problème le plus délicat à résoudre a été celui de l'alimentation en eau.
Le causse du Larzac, de même que
les causses voisins, est essentiellement jurassique. Les eaux de pluie
y sont rapidement absorbées par le calcaire très fissuré. Elles
circulent dans les entrailles des plateaux, parmi les cavités et les
conduits souterrains qui sillonnent la masse interne et le font
ressembler à une éponge. Puis, au contact de nappes d'argile, elles
ressortent sous la forme de sources généralement abondantes.
A la surface du
plateau, l'eau ne séjourne pas. Dans les villages on ne boit le plus
souvent que de l'eau de citerne dont la quantité est limitée et la
qualité douteuse.
D'après l'instruction du 14 janvier 1897,
la quantité d'eau à fournir dans les camps est au, minimum de 30 litres par homme et de 50 litres par
cheval. Il aurait donc suffi à la rigueur de 100 m3environ par jour,
eu égard à la contenance du camp à l'époque de sa création.
En réalité,
en vue d'une extension ultérieure possible, on s'est imposé de fournir
journellement 172,800 m3 d'eau, soit 2 litres par seconde.
Diverses
sources, de débit plus ou moins important, existant sur le versant du
plateau, étaient susceptibles de produire la quantité d'eau ci-dessus.
Après étude, le choix du service du génie s'est porté sur la source du
Cernon (en amont du village de Sainte-Eulalie-du-Cernon et
sur laquelle les voyageurs pouvaient maintenant porter le regard), dont le débit
à l'étiage est de 300 litresà
la seconde.
L'eau potable est prélevée à la
source même et amenée à une
usine élévatoire hydraulique spécialement construite pour refouler
l'eau sur le plateau. L'usine comprend essentiellement une turbine,
qui commande directement une pompe foulante à plusieurs corps et qui
est actionnée par une dérivation de la rivière.
L'installation complète comprend :
1° La prise d'eau. - Un puisard de 2 m. de profondeur
a été creusé à l'emplacement de la source. Une crépine
en cuivre recueille l'eau à0,80 m.du fond du
puisard.
2°
La conduite d'amenée, conduite en
fonte de 80 mm. de diamètre intérieur, établie en tranchée.
Longueur : 2.120 m. Différence d'altitude entre les deux
extrémités : 31 m.
La
conduite aboutit à l'usine à une couronne en fonte dans laquelle
puisent les tuyaux d'aspiration des pompes.
3° Un canal à ciel ouvert
amenant l'eau qui actionne la turbine (longueur totale :
260 m. environ).
Un
barrage existe sur le Cernon qui desservait le moulin dit de
Saison.
L'État
a acquis la propriété de.ce barrage, en laissant au propriétaire du
moulin la libre disposition d'une partie de la retenue
d'eau...
En
écarquillant les yeux, le voyageur pouvait apercevoir un instant
l'ancienne commanderie templière, puis hospitalière, de
Sainte-Eulalie-du-Larzac, aujourd'hui, de-Cernon.
Lorsque la ligne d'Alby au Vigan a été déclarée d'utilité publique, le 8 août 1879, et même lorsqu'elle a été concédée à la Compagnie du Midi, le 20 novembre 1883,Sainte-Eulalie-de-Cernon se nommait encore Sainte-Eulalie-du-Larzac.
Ce n'est, en effet qu'en 1889, qu'un décret est promulgué, portant :
Que la commune de
Sainte-Eulalie-du-Larzac (canton de Carnus, arrondissement de
Saint-Affrique, département de l'Aveyron) prendra à l'avenir, le nom de
Sainte-Eulalie-du-Cernon.
1899
Nombre de voyageurs expédiés 2.932, reçus 2.924 ; tonnage des
marchandises expédiées 387, reçues 278 ; nombre des expéditions,
messageries 954, marchandises 201.
La station est
le point de départ et d'arrivée du "circuit
vélorail des Papillons", comprenant une grande partie de la section de
voie refaite par l'armée entre Sainte-Eulalie et l'Hospitalet.
REGLEMENT
DE POLICE D'EXPLOITATION VELORAIL
L'activité vélo-rail que vous pratiquez est une
promenade familiale où la vitesse est proscrite.
Vous utilisez un véhicule conforme à un cahier
des
charges établi par le ministère des transports et
la
fédération des vélorails de France.
Ces machines sont équipées de freins, d'un
avertisseur lumineux automatique et clignotant.
L'état de ces équipements est
contrôlé QUOTIDIENNEMENT.
Vous allez parcourir un site naturel protégé, il
est impératif de le respecter.
Des indications de votre position vous seront données sur
les
bornes rouges tous les 100 m ; elles sont affichées
entre
les deux rails.
Départ de la gare de Sainte-Eulalie-de-Cernon
. Destination Le Rouquet
. Aller-retour en vélo-rail :
un effort à l'aller,
4 km en montée,
retour tout en descente
. Durée : 1 h 30 environ
Depuis 2023, les vélorails, sur cette section, sont équipés d'une assistance électrique.
STOP
FIN
DE PARCOURS
Descendez, soulevez et retournez
votre vélo-
rail sur la plaque
Poussez-le au maximum pour
dégager l'espace de retournement pour les suivants.
Engagements
du promeneur :
Nous sommes 2 adultes majeurs capables par vélo-rail, minimum Je respecte la
distance minimum entre les véhicules en mouvement de 50
mètres.
Je respecte l'interdiction formelle de se tamponner.
Je suis civilement responsable des accidents que je pourrais
occasionner.
Je ne stationne pas dans les tunnels et sur les viaducs.
Je contrôle la vitesse de mon véhicule.
Je n'abandonne jamais mon véhicule.
Je respecte les horaires impartis.
Je ne jette pas de détritus sur le site.
Je ne fume pas sur le parcours.
Je retourne la draisine sur la zone réservée
à cet effet.
Je suis responsable du comportement de mes enfants.
J'emporte boissons, casquettes et vêtements
adaptés à l'activité.
Parmi
les matériels
stationnés sur l'emprise
se
trouve un locotracteur
Y 7208 qui assure des liaisons aller-retour avec
la gare de Labastide-Pradines.
Ce "train touristique" ramène les pratiquants du circuit
"Les Orchidées", ainsi que leurs vélorails
au point de départ en gare de
Sainte-Eulalie.
Côté cour,
le
bâtiment
voyageur et sa halle aux marchandises attenante,
sont desservis
par les D 561 - route
de la gare -
et
D 561e, depuis
le village.
Le train repartait le long de la lampisterie-
lieux-d'aisances.
et s'éloignait au nord-ouest en direction de la gare
de Lapanouse-de-Cernon.