La gare de Saint-Sulpice est mise en service le 24 octobre 1864
par la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO), lorsqu'elle
ouvre à l'exploitation la ligne de Toulouse à Lexos.
Établie à 112 mètres d'altitude, la gare de bifurcation de
Saint-Sulpice
(Tarn) est
située au point kilométrique (PK) 365,94
de la ligne de Brive-la-Gaillarde à
Toulouse-Matabiau via Capdenac
entre les gares de Rabastens-Couffouleux et de Buzet-Roquesérière.
Côté cour,
le
bâtiment voyageur
et la halle à marchandises ont
gardé leur caractère d'antan dans un environnement ouvert aux
nécessités contemporaines.
"A
Saint-Sulpice-la-Pointe, la toiture de la gare s'est partiellement
envolée sous l'effet des bourrasques, avant de s'écraser sur les voies.
Dans cette commune, les services d'incendie et de secours parlent même
d'une "mini-tornade".
Elle
est également située au PK 249,391 de la ligne de
Montauban-Ville-Bourbon à la Crémade entre les gares de Buzet-sur-Tarn,
fermée et située sur la section
déclassée de Montauban à Saint-Sulpice,
et Saint-Jean-de-Rives également fermée.
où ils quittaient la commune de Saint-Sulpice-la-Pointe et le département du Tarn par-dessus le ruisseau de Merdayrol.
Une simple trace dans les prés marque encore l'entrée de la voie ferrée
sur les territoires de la commune de Buzet-sur-Tarn et du département de la Haute-Garonne.