et une aire
de pique-nique,la
voie verteinvite
le randonneur à s'intéresser à lastation
de lagunage de la Bastide de Séroucachée
à l'abri de la végétation.
La
station de lagunage de la Bastide de Sérou est composée de trois
bassins placés en série, qui peuvent traiter les eaux usées de 600
Equivalents Habitants (EqH)*. L'eau ainsi traitée est rejetée dans la
rivièreAujolle.
Sa mise en service en 1995 a permis de réduire fortement le déversement
d'eaux usées dans le canal ou dans les rivières de la commune.
Ce
sont essentiellement les habitations du bourg de la Bastide de
Sérou qui sont connectées à la station. Les habitations isolées
possèdent des fosses sceptiques individuelles. (*EqH : unité de
mesure correspondant à la qualité d'eaux usées que déverse en moyenne
un habitant par jour.)
rend la voie verte à la terre
ferme où l'attend un danger imminent, annoncé à 100 mètres.
La végétation autorisée à pousser le long de la voie déferrée forme une allée
parsemée de panonceaux en tout genre :
Vélos
!
DANGER HABITATIONS ROULEZ
AU PAS SOL
DERAPANT !!
Rappel !
Danger à 10 mètres
Code
de conduite sur les voies vertes
Piétons, cyclistes, rollers,
personnes à mobilité réduite, cavaliers... partageons l'espace. 11
règles pour donner la priorité au plus lent, et favoriser le respect et
la convivialité... Sur une voie verte, sachez comprendre
l’autre et gardez à l’esprit
qu’une
voie verte est un espace ouvert à tous les usagers non motorisés qui
n’ont pas toujours les mêmes besoins et les mêmes attentes.
1/En
vous déplaçant, tenez-vous sur la droite, cela permet d’éviter
la plupart des conflits.
2/ À l’arrêt,
ne stationnez pas au milieu de la voie, utilisez les bas-côtés ou les
espaces de repos.
3/Cyclistes et
rollers,
ralentissez à l’approche de piétons et d’enfants ou lorsqu’il y a
affluence. Tenez compte des chevaux et des chiens en évitant de les
effrayer. Avertissez les autres usagers en utilisant votre sonnette
(obligatoire pour les cyclistes). Respectez le code de la route qui
considère le cycliste comme un véhicule et le roller comme un piéton.
4/Cavaliers,
circulez sur les zones qui vous sont autorisées, et à
l’allure imposée (en général pas ou trot).
5/Piétons en
groupe, sachez ne pas prendre toute la largeur de la piste.
6/Propriétaires
de chiens, tenez votre animal en laisse, en évitant à la
laisse de traverser la voie et de barrer tout passage.
7/Respectez le
mobilier et les aménagementsmis
à la disposition de tous (fontaines, tables, bancs, panneaux
d’informations...) ainsi que les plantations. Conservez l’état de
propreté de la voie et de son environnement en utilisant toilettes et
poubelles, ou en emportant avec vous vos détritus. Fumeurs, éteignez
correctement votre cigarette et ne la jetez pas n’importe où.
8/ Restez sur la voie et ses abords, respectez les propriétés.
9/
Lorsqu’un itinéraire est ouvert à certains véhicules motorisés
(riverains, véhicules de service, engins agricoles), sachez les laisser
passer.
10/Le long de
l’eau,
respectez la tranquillité des pêcheurs. Pêcheurs, prenez soin que votre
véhicule et vos cannes à pêche ne gênent pas les usagers de la voie
verte….
11/ Enfin, il n’est pas interdit de se saluer quand on se croise.
Attention au chien
N'y aurait-il pas discordance entre cet avertissement et le point 6 de
l'affichette précédente ?
"Propriétaires
de chiens, tenez votre animal en laisse, en évitant à la laisse de
traverser la voie et de barrer tout le passage".
15 août 2013
Les raisons de cette débauche d'écriteaux, panneaux, instructions,
triangles de danger
échappent quelque peu au randonneur à la simple approche de la maisonnette de garde-barrière
Les photos aériennes de 1942 ne démontrent pas davantage
la nécessité d'un passage à niveau
gardé
en cet endroit perdu. Peut-être faut-il remonter davantage dans le
temps, consulter un cliché plus net ou accéder à des archives pour
saisir les motivations de cette implantation.
L'endroit atypique conserve les barrières de bois d'un étranglement
supprimé presque partout ailleurs sur la voie verte.
L'ex-plate-forme ferroviaire
contourne le hameau de Piquepouch
sur un faux-plat descendant
qui la mène
à l'intersection d'un ancien chemin
disparu des cartes
Église
de Vic (mentionnée en 1151 comme prieuré de l’abbaye du Mas
d’Azil ; détruite à la Révolution ; reconstruite au début du
19éme et son clocher en 1867 sous la dédicace de l’Assomption de la
Vierge) ; Le retable de Vic avait échappé à la Révolution et a été
donné à la paroisse de Durban ; puis démembré vers 1850. Dans le
cimetière, se remarque le tombeau de la famille de Morteau.